Espaces verts de la commune
La commune du Perray n’a pas attendu la loi du 1er janvier 2017 pour supprimer les produits phytosanitaires lors de l’entretien de ses espaces verts et de ses voiries (mis en place depuis 2011).
En effet à présent plus personne ne peut ignorer qu’herbicides, fongicides et pesticides dégradent les nappes phréatiques, polluent l’air que nous respirons, tuent les insectes utiles à la survie de tout être vivant.
Pour notre santé, pour les générations futures, pour les agents qui peuvent travailler tranquillement sans masque et équipement de protection et pour préserver la biodiversité d’autres moyens ont été adoptés.
L’achat d’une désherbeuse thermique à eau chaude : l’eau montée à haute température (120°) provoque l’arrêt de l’activité biologique de la plante qui finit par noircir et mourir. Il s’agit de matériel français fabriqué en Ille et Vilaine.
Commencée il y a une dizaine d’années, la plantation de plantes vivaces, se poursuit dans les massifs, associée aux plantes dites « annuelles » pour une floraison du printemps aux premières gelées.
Le désherbage de ces massifs se fait dorénavant manuellement.
Un paillage permet de limiter les arrosages et la pousse des herbes indésirables.
Des fleurs sauvages seront petit à petit semées pour favoriser la biodiversité.
Des produits « biodégradables » conformes à la législation sont utilisés pour le nettoyage de la voirie, produits de la marque ECHOVERT.
—
Plusieurs d’entre vous ont aperçu aux Platanes, aux Séquoias et sur le parking du Planit des agents municipaux recouverts des pieds à la tête d’une combinaison blanche ou jaune en train de charger des branches mortes dans un camion. Mais que faisaient-ils donc ?
Comme nous vous l’avions indiqué lors d’un précédent Perray Infos des arbres de la commune ont subi une invasion de chenilles processionnaires.
Une entreprise spécialisée s’est déplacée pour enlever les nids et les chenilles et par la même occasion il leur avait été demandé de
couper les branches mortes des arbres infectés. Il faut savoir que, même s’il n’y a plus de chenilles, leurs poils, très urticants, sont restés sur les branches et les feuilles. Ces poils se terminent par de petits crochets qui s’accrochent aux tissus, à la peau et aux muqueuses. Afin d’enlever les branches coupées, les agents ont dû revêtir des combinaisons, couvrir leur tête, leur visage et leurs mains pour ne pas être exposés.
Les services techniques ont également construit et installé près d’une trentaine de nichoirs à mésanges sur la commune. La mésange est le plus grand prédateur naturel de la chenille processionnaire. Sa présence sur des zones infectées est un atout primordial dans
la lutte alternative contre la processionnaire.
Le mur en pierres qui séparait le verger du parc a été démoli.
Ce mur était en mauvais état, des pierres se détachaient et l’endroit, très fréquenté par les familles, devenait dangereux. La Mairie a pris la décision de démolir le mur et d’agrandir le parc permettant ainsi l’accès au verger jusqu’ici fermé.
Depuis des décennies des passionnés ont travaillé à la sauvegarde des fruitiers anciens qui le composent. Nous espérons que ce lieu préservé ne sera pas dégradé. Ne cassez pas les branches ; attendez que les fruits arrivent à maturité avant de les cueillir et ce verger pourra continuer à enchanter pendant de longues années vos enfants et petits-enfants.
La commune du Perray n’a pas attendu la loi du 1er janvier 2017 pour supprimer les produits phytosanitaires lors de l’entretien de ses espaces verts et de ses voiries (mis en place depuis 2011).
En effet à présent plus personne ne peut ignorer qu’herbicides, fongicides et pesticides dégradent les nappes phréatiques, polluent l’air que nous respirons, tuent les insectes utiles à la survie de tout être vivant.
Pour notre santé, pour les générations futures, pour les agents qui peuvent travailler tranquillement sans masque et équipement de protection et pour préserver la biodiversité d’autres moyens ont été adoptés.
L’achat d’une désherbeuse thermique à eau chaude : l’eau montée à haute température (120°) provoque l’arrêt de l’activité biologique de la plante qui finit par noircir et mourir. Il s’agit de matériel français fabriqué en Ille et Vilaine.
Commencée il y a une dizaine d’années, la plantation de plantes vivaces, se poursuit dans les massifs, associée aux plantes dites « annuelles » pour une floraison du printemps aux premières gelées.
Le désherbage de ces massifs se fait dorénavant manuellement.
Un paillage permet de limiter les arrosages et la pousse des herbes indésirables.
Des fleurs sauvages seront petit à petit semées pour favoriser la biodiversité.
Des produits « biodégradables » conformes à la législation sont utilisés pour le nettoyage de la voirie, produits de la marque ECHOVERT.
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Plusieurs d’entre vous ont aperçu aux Platanes, aux Séquoias et sur le parking du Planit des agents municipaux recouverts des pieds à la tête d’une combinaison blanche ou jaune en train de charger des branches mortes dans un camion. Mais que faisaient-ils donc ?
Comme nous vous l’avions indiqué lors d’un précédent Perray Infos des arbres de la commune ont subi une invasion de chenilles processionnaires.
Une entreprise spécialisée s’est déplacée pour enlever les nids et les chenilles et par la même occasion il leur avait été demandé de
couper les branches mortes des arbres infectés. Il faut savoir que, même s’il n’y a plus de chenilles, leurs poils, très urticants, sont restés sur les branches et les feuilles. Ces poils se terminent par de petits crochets qui s’accrochent aux tissus, à la peau et aux muqueuses. Afin d’enlever les branches coupées, les agents ont dû revêtir des combinaisons, couvrir leur tête, leur visage et leurs mains pour ne pas être exposés.
Les services techniques ont également construit et installé près d’une trentaine de nichoirs à mésanges sur la commune. La mésange est le plus grand prédateur naturel de la chenille processionnaire. Sa présence sur des zones infectées est un atout primordial dans
la lutte alternative contre la processionnaire.
Le mur en pierres qui séparait le verger du parc a été démoli.
Ce mur était en mauvais état, des pierres se détachaient et l’endroit, très fréquenté par les familles, devenait dangereux. La Mairie a pris la décision de démolir le mur et d’agrandir le parc permettant ainsi l’accès au verger jusqu’ici fermé.
Depuis des décennies des passionnés ont travaillé à la sauvegarde des fruitiers anciens qui le composent. Nous espérons que ce lieu préservé ne sera pas dégradé. Ne cassez pas les branches ; attendez que les fruits arrivent à maturité avant de les cueillir et ce verger pourra continuer à enchanter pendant de longues années vos enfants et petits-enfants.