Repas végétariens dans nos écoles

La loi n°2018-938 promulguée le 30 octobre 2018 impose aux cantines scolaires un menu végétarien une fois par semaine.
Cette loi est appliquable à partir du 1er novembre 2019 mais la commune a instauré cette formule depuis l’année dernière, dans les écoles et l’ALSH.

Pourquoi changer nos habitudes alimentaires ?
Parce que l’agriculture industrielle et l’élevage intensifs détruisent l’écosystème, absorbent une bonne partie des ressources d’eau potable, détruisent les forêts, tuent les petits agriculteurs, ne tiennent pas compte du bien-être animal et au final sont nocifs pour notre santé. Pour la santé de tous, il est temps de revenir à une alimentation plus équilibrée, moins transformée.

Qu’est-ce qu’un repas végétarien ?
Un tel repas ne comporte aucune chair animale, qu’il s’agisse de viandes ou de poissons, mais comprend des végétaux, des légumineuses, du lait, du miel, des champignons, du soja, des oeufs et des produits laitiers. Dans la mesure où les repas sont suffisamment diversifiés le végétarisme n’induit pas de carences. En effet les légumineuses sont riches en protéines et minéraux comme le fer et le calcium, et contiennent également des fibres, des antioxydants et de la vitamine B. En outre elles ont un faible indice glycémique.

Pourquoi mettre en place un repas végétarien dans nos cantines ?
• Pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Il faut savoir que presque 50 % du gaspillage concerne le poisson et la viande
• Pour s’engager sur le chemin de la transition écologique. En effet la production de protéines animales demande une consommation d’énergie plus importante que pour la même portion de protéines végétales
• Pour privilégier les filières agricoles durables et les circuits alimentaires de proximité, enfin pour lutter contre la pauvreté. Peu onéreuses les légumineuses (lentilles, pois chiches, fèves, haricots…) sont une source de protéines végétales. On peut en produire dans toutes les régions et ainsi aider les agriculteurs à diversifier leurs cultures et à les adapter au réchauffement climatique.
• Pour réhabituer nos enfants à une plus grande diversité de goûts.

La loi n°2018-938 promulguée le 30 octobre 2018 impose aux cantines scolaires un menu végétarien une fois par semaine.
Cette loi est appliquable à partir du 1er novembre 2019 mais la commune a instauré cette formule depuis l’année dernière, dans les écoles et l’ALSH.

Pourquoi changer nos habitudes alimentaires ?
Parce que l’agriculture industrielle et l’élevage intensifs détruisent l’écosystème, absorbent une bonne partie des ressources d’eau potable, détruisent les forêts, tuent les petits agriculteurs, ne tiennent pas compte du bien-être animal et au final sont nocifs pour notre santé. Pour la santé de tous, il est temps de revenir à une alimentation plus équilibrée, moins transformée.

Qu’est-ce qu’un repas végétarien ?
Un tel repas ne comporte aucune chair animale, qu’il s’agisse de viandes ou de poissons, mais comprend des végétaux, des légumineuses, du lait, du miel, des champignons, du soja, des oeufs et des produits laitiers. Dans la mesure où les repas sont suffisamment diversifiés le végétarisme n’induit pas de carences. En effet les légumineuses sont riches en protéines et minéraux comme le fer et le calcium, et contiennent également des fibres, des antioxydants et de la vitamine B. En outre elles ont un faible indice glycémique.

Pourquoi mettre en place un repas végétarien dans nos cantines ?
• Pour lutter contre le gaspillage alimentaire. Il faut savoir que presque 50 % du gaspillage concerne le poisson et la viande
• Pour s’engager sur le chemin de la transition écologique. En effet la production de protéines animales demande une consommation d’énergie plus importante que pour la même portion de protéines végétales
• Pour privilégier les filières agricoles durables et les circuits alimentaires de proximité, enfin pour lutter contre la pauvreté. Peu onéreuses les légumineuses (lentilles, pois chiches, fèves, haricots…) sont une source de protéines végétales. On peut en produire dans toutes les régions et ainsi aider les agriculteurs à diversifier leurs cultures et à les adapter au réchauffement climatique.
• Pour réhabituer nos enfants à une plus grande diversité de goûts.

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