Rappel sur la réglementation d’épandage du lisier
Le lisier est une matière naturelle considérée comme un engrais organique valorisé, utilisé en remplacement d’un engrais chimique, bénéfique pour l’environnement. Le lisier et les effluents sont riches en éléments minéraux qui contribuent à fertiliser la terre et à améliorer la croissance des cultures et sont donc très utilisés en agriculture, ils limitent également les risques d’érosion des sols. Ces matières proviennent principalement des effluents d’élevage, des boues issues du traitement des eaux usées, et des engrais verts issus des végétaux. Avant d’épandre, les agriculteurs doivent réaliser une étude de terrain qui définit
l’effluent à épandre en fonction du type de sol de la parcelle ainsi que la zone autorisée pour les épandages. Cette étude facilite la réalisation des plans d’épandage
permettant de définir les doses et les fréquences des apports en fonction de la situation géographique des parcelles, des sols et des systèmes de culture.
Pour certains produits utilisés dont le lisier, les agriculteurs ont l’obligation de déposer un plan d’épandage en Préfecture en précisant notamment les dates et distances par rapport aux habitations et en s’appuyant sur le règlement sanitaire départemental. Cependant l’agriculteur peut faire ces opérations mais il peut
passer par une société extérieure pour ce travail et n’a donc pas la maîtrise du calendrier. L’enfouissement doit être fait au plus tard 48 h après l’épandage mais le climat chaud et sec de ce mois de septembre a accentué les odeurs pestilentielles, car il est compliqué d’enfuir dans un sol sec.
Le lisier est une matière naturelle considérée comme un engrais organique valorisé, utilisé en remplacement d’un engrais chimique, bénéfique pour l’environnement. Le lisier et les effluents sont riches en éléments minéraux qui contribuent à fertiliser la terre et à améliorer la croissance des cultures et sont donc très utilisés en agriculture, ils limitent également les risques d’érosion des sols. Ces matières proviennent principalement des effluents d’élevage, des boues issues du traitement des eaux usées, et des engrais verts issus des végétaux. Avant d’épandre, les agriculteurs doivent réaliser une étude de terrain qui définit
l’effluent à épandre en fonction du type de sol de la parcelle ainsi que la zone autorisée pour les épandages. Cette étude facilite la réalisation des plans d’épandage
permettant de définir les doses et les fréquences des apports en fonction de la situation géographique des parcelles, des sols et des systèmes de culture.
Pour certains produits utilisés dont le lisier, les agriculteurs ont l’obligation de déposer un plan d’épandage en Préfecture en précisant notamment les dates et distances par rapport aux habitations et en s’appuyant sur le règlement sanitaire départemental. Cependant l’agriculteur peut faire ces opérations mais il peut
passer par une société extérieure pour ce travail et n’a donc pas la maîtrise du calendrier. L’enfouissement doit être fait au plus tard 48 h après l’épandage mais le climat chaud et sec de ce mois de septembre a accentué les odeurs pestilentielles, car il est compliqué d’enfuir dans un sol sec.