Sylvie BAQUIER, directrice de l’ALSH pour les mercredis et les vacances scolaires

Madame Baquier a intégré la commune il y a 28 ans et a évolué au sein de la commune tout au long de sa carrière. Réflexions sur les activités en lien avec les projets pédagogiques, gestion d’équipe et gestion administrative sont le cœur de son métier.

Vos expériences passées ?
Après de courtes expériences en maison de quartier, club enfants d’un village vacances et dans les centres de loisirs maternel et élémentaire d’une grosse commune, je suis arrivée au centre de loisirs du Perray, il y a 28 ans, en tant qu’animatrice.

Votre intérêt pour le métier ?
C’était d’abord un « job étudiant » agréable mais j’ai rapidement pris goût à l’animation. Formée sur le terrain par un directeur qui mettait au cœur de ses projets des valeurs importantes à mes yeux, il m’a alors semblé que ma place était ici et je suis restée. J’ai ensuite passé le BAFA puis le BAFD pour accéder à la direction. La formation au concours d’animatrice territoriale a élargi mes connaissances au niveau des collectivités.

Vos motivations et ambitions dans l’exercice de vos fonctions ?
J’ai été motivée par la réflexion autour des objectifs pédagogiques qui précède les choix d’activités, par le travail en équipe qui peut être porteur de beaux projets, de belles valeurs.

Les compétences et le savoir-faire pour ce poste ?
La patience et la pédagogie me semblent essentielles, tout comme une connaissance des besoins et rythmes de l’enfant. Diverses compétences administratives ainsi que de gestion d’équipe sont également nécessaires pour les fonctions de direction.

Vos principales difficultés et vos principaux challenges ?
La principale difficulté a été le manque de reconnaissance pour un métier souvent déconsidéré, l’animation passant souvent pour de la garderie. Montrer le contraire peut s’apparenter à un challenge. Les animateurs proposent des activités manuelles variées, des jeux collectifs, des parcours de motricité, des ateliers d’expression…. Tous ces moments sont surtout riches d’échanges informels et peuvent avoir un impact important sur la vie en collectivité de chacun.

Pourquoi avoir choisi la commune du Perray ?
J’ai choisi de rester au Perray d’une part pour le cadre particulièrement appréciable de l’ALSH, d’autre part car ce travail s’inscrit pour moi dans le temps. Beaucoup de familles perrotines restent sur la commune. Les enfants qui fréquentent le centre nous sollicitent parfois pour un stage de troisième, un BAFA, un poste saisonnier. Des enfants présents à mes débuts nous confient à leur tour leurs enfants. L’impact de notre travail est d’autant plus tangible quand on en a un retour des années après.

L’enjeu du poste en collectivité territoriale ?
C’est de proposer à des familles, aux attentes variées, un accueil qui convienne à tous sans perdre de vue les objectifs pédagogiques du projet.

Un mot sur la fonction publique ?
A mes débuts au Perray, la filière animation n’existait pas, l’emploi était précaire. Sa création a permis aux animateurs de se projeter dans un métier, d’obtenir des formations qui complètent celle du BAFA, d’être mieux reconnus.

Madame Baquier a intégré la commune il y a 28 ans et a évolué au sein de la commune tout au long de sa carrière. Réflexions sur les activités en lien avec les projets pédagogiques, gestion d’équipe et gestion administrative sont le cœur de son métier.

Vos expériences passées ?
Après de courtes expériences en maison de quartier, club enfants d’un village vacances et dans les centres de loisirs maternel et élémentaire d’une grosse commune, je suis arrivée au centre de loisirs du Perray, il y a 28 ans, en tant qu’animatrice.

Votre intérêt pour le métier ?
C’était d’abord un « job étudiant » agréable mais j’ai rapidement pris goût à l’animation. Formée sur le terrain par un directeur qui mettait au cœur de ses projets des valeurs importantes à mes yeux, il m’a alors semblé que ma place était ici et je suis restée. J’ai ensuite passé le BAFA puis le BAFD pour accéder à la direction. La formation au concours d’animatrice territoriale a élargi mes connaissances au niveau des collectivités.

Vos motivations et ambitions dans l’exercice de vos fonctions ?
J’ai été motivée par la réflexion autour des objectifs pédagogiques qui précède les choix d’activités, par le travail en équipe qui peut être porteur de beaux projets, de belles valeurs.

Les compétences et le savoir-faire pour ce poste ?
La patience et la pédagogie me semblent essentielles, tout comme une connaissance des besoins et rythmes de l’enfant. Diverses compétences administratives ainsi que de gestion d’équipe sont également nécessaires pour les fonctions de direction.

Vos principales difficultés et vos principaux challenges ?
La principale difficulté a été le manque de reconnaissance pour un métier souvent déconsidéré, l’animation passant souvent pour de la garderie. Montrer le contraire peut s’apparenter à un challenge. Les animateurs proposent des activités manuelles variées, des jeux collectifs, des parcours de motricité, des ateliers d’expression…. Tous ces moments sont surtout riches d’échanges informels et peuvent avoir un impact important sur la vie en collectivité de chacun.

Pourquoi avoir choisi la commune du Perray ?
J’ai choisi de rester au Perray d’une part pour le cadre particulièrement appréciable de l’ALSH, d’autre part car ce travail s’inscrit pour moi dans le temps. Beaucoup de familles perrotines restent sur la commune. Les enfants qui fréquentent le centre nous sollicitent parfois pour un stage de troisième, un BAFA, un poste saisonnier. Des enfants présents à mes débuts nous confient à leur tour leurs enfants. L’impact de notre travail est d’autant plus tangible quand on en a un retour des années après.

L’enjeu du poste en collectivité territoriale ?
C’est de proposer à des familles, aux attentes variées, un accueil qui convienne à tous sans perdre de vue les objectifs pédagogiques du projet.

Un mot sur la fonction publique ?
A mes débuts au Perray, la filière animation n’existait pas, l’emploi était précaire. Sa création a permis aux animateurs de se projeter dans un métier, d’obtenir des formations qui complètent celle du BAFA, d’être mieux reconnus.

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