Des ultrasons pour lutter contre les algues bleues à la base de loisirs

En tant que Vice-Président délégué à la politique sportive et aux loisirs le Maire souhaite trouver des solutions face aux algues qui apparaissent l’été depuis quelques années. Décision prise : expérimenter la CyanoBox.

Le dispositif, installé en avril, permet d’agir contre l’apparition et le développement des algues filamenteuses et des cyanobactéries. La communauté d’agglomération a choisi de tester cet équipement pour pallier la dégradation de la qualité de l’eau, potentiellement accentuée par le changement climatique et ainsi faire en sorte que le public profite au maximum de la baignade tout au long de la saison estivale. Les effets devraient être rapidement visibles, ne serait-ce qu’au niveau de la transparence de l’eau.
Ce dispositif est sans impact pour l’homme, la faune et la flore aquatiques environnantes qui ont des fréquences de résonance différentes et ne sont donc pas affectés par les ultrasons émis.
Cette installation, qui s’est faite avec l’accord du Syndicat Mixte d’Aménagement et de Gestion des Étangs et Rigoles (SMAGER), représente un coût de près de 20 000 €.

Comment ça marche ?

Les ondes sonores du dispositif, qui émet à 360°, sont réglées pour égaler la fréquence de résonance de la membrane cellulaire des vacuoles de l’algue. Ces vacuoles contiennent le gaz qui leur permet de se maintenir à la surface de l’eau et ainsi capter les rayons du soleil. Sous l’effet des ultrasons, la vacuole vibre, perd rapidement son élasticité et finit par se rompre. Le gaz est ainsi libéré, l’algue ne peut plus flotter et coule vers le fond du plan d’eau. N’ayant plus accès à la photosynthèse, elle va mourir et se dégrader. Le temps nécessaire à l’altération durable de la membrane cytoplasmique est de 4 à 5 jours.

En tant que Vice-Président délégué à la politique sportive et aux loisirs le Maire souhaite trouver des solutions face aux algues qui apparaissent l’été depuis quelques années. Décision prise : expérimenter la CyanoBox.

Le dispositif, installé en avril, permet d’agir contre l’apparition et le développement des algues filamenteuses et des cyanobactéries. La communauté d’agglomération a choisi de tester cet équipement pour pallier la dégradation de la qualité de l’eau, potentiellement accentuée par le changement climatique et ainsi faire en sorte que le public profite au maximum de la baignade tout au long de la saison estivale. Les effets devraient être rapidement visibles, ne serait-ce qu’au niveau de la transparence de l’eau.
Ce dispositif est sans impact pour l’homme, la faune et la flore aquatiques environnantes qui ont des fréquences de résonance différentes et ne sont donc pas affectés par les ultrasons émis.
Cette installation, qui s’est faite avec l’accord du Syndicat Mixte d’Aménagement et de Gestion des Étangs et Rigoles (SMAGER), représente un coût de près de 20 000 €.

Comment ça marche ?

Les ondes sonores du dispositif, qui émet à 360°, sont réglées pour égaler la fréquence de résonance de la membrane cellulaire des vacuoles de l’algue. Ces vacuoles contiennent le gaz qui leur permet de se maintenir à la surface de l’eau et ainsi capter les rayons du soleil. Sous l’effet des ultrasons, la vacuole vibre, perd rapidement son élasticité et finit par se rompre. Le gaz est ainsi libéré, l’algue ne peut plus flotter et coule vers le fond du plan d’eau. N’ayant plus accès à la photosynthèse, elle va mourir et se dégrader. Le temps nécessaire à l’altération durable de la membrane cytoplasmique est de 4 à 5 jours.

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